bibliographie
« résistances juives »
Trois villes ont laissé leur nom dans l’histoire du sauvetage d’enfants juifs pendant l’occupation nazie de la France : Dieulefit, Le Chambon-sur-Lignon et Moissac. Un colloque, « Des villes et des Justes », a réuni à Moissac historiens, résistants et témoins sous la direction scientifique de Bernard Delpal et avec la participation, notamment de François Boulet et de Roger Fichtenberg.
Ce livre reprend les actes du colloque.
« réfléchir ça fait même pas mal » de Jean-yves laneurie
Dans cet essai inclassable, roman, conte ou fable, émouvant et jubilatoire, l’histoire, la musique la philosophie et la politique galopent au même rythme .
« les enfants de moissac » de catherine lewertowski
Pour Jean-Claude Simon, ce livre a déclenché l’envie de créer l’association et d’œuvrer à la mémoire de cette dramatique et merveilleuse aventure qui a permis de sauver plus de 500 enfants.
« la fanfare de bangui » de Simha Arom
Simha Arom a vécu une partie de son enfance à la Maison de Moissac. Il est un ethnomusicologue de renommée mondiale.
« moissac 1939-1945 » de François Boulet
Deux livres relatent la place que la Maison des enfants juifs tient dans l’histoire locale et dans l’histoire de la Résistance pendant la deuxième guerre mondiale. Réunis sous le titre « Moissac 1939 – 1945 », le premier volume s’appelle « Cité de Justes » et le second « Résistants, Justes et Juifs ». Ces deux livres sont indispensables par leur précision, leur érudition et le grand nombre de sources citées
« le secret d’édith » de Kathy kacer
Kathy Kacer a recueilli l’histoire d’Édith Schwalb, petite fille sauvée à Moissac. Édith vit à Toronto et a consacré beaucoup de temps a raconter la Shoah dans les écoles, les universités et les associations canadiennes.
Ce livre écrit en anglais a fait l’objet d’une traduction en français, en néerlandais et en allemand.
« La plus précieuse des marchandises » de Jean-claude grumberg
Jean-Claude Grumberg est arrivé à la Maison de Moissac à l’âge de 2 ans. Son œuvre, immense, est hantée par la condition juive, le fascisme, l’identité, l’amour de l’humanité. Ses pièces les plus célèbres sont « l’Atelier », « En r’venant d’l’expo », « Dreyfus », « Pour en finir avec la question juive (l’être ou pas) »… Il est l’auteur du scénario du « Dernier métro » de Trufaut, « Amen » ou « Le capital » de Costa-Gavras… Ce petit conte nous dit en quelques pages toute la détresse et l’espoir d’une enfant perdue dans la guerre et l’atrocité de la Shoah (qui n’est pourtant jamais nommée…). Il sera suivi par un petit livre de souvenirs d’enfance, « Pleurnichard ».
« journal d’un résistant juif dans le sud-ouest » de Roger fichtenberg
Roger Fichtenberg s’est engagé pour l’exfiltration d’enfants de la Maison de Moissac vers des familles de la Montagne Noire près de Lacune ou par des filières qui menaient jusqu’en Suisse. Il est resté très attaché à Moissac et a participé à la plupart des manifestations organisées par l’association.
« heureux comme dieu en France » de Gérard israël
C’est peu de dire que la Maison de Moissac est au cœur de ce livre : elle en illustre la couverture.